« Le corps constitue la matière première du cinéma » J.M DURAFOUR
Dans un passé pas si lointain les scènes d’intimité étaient, souvent, laissées à l’improvisation, créant ainsi de la gêne, de l’inquiétude, voire des abus.
Entre 2017 et 2018, un changement culturel s’est opéré dans l’industrie du divertissement, grâce notamment à l’affaire « Weinstein » et au mouvement #MeToo. Cette évolution s’est traduite d’abord aux États-Unis, en Angleterre puis en France par la création du métier d’Intimacy Coordinator.
Aujourd’hui, les producteurs, les réalisateurs, les interprètes et le CNC, souhaitent de meilleures pratiques afin de créer un environnement de travail sécurisé servant le mieux possible la narration d’une histoire.